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Juin 2019
Avec Tout passe (2012), Dubravko Mihanović (1975) nous emmène dans ces maisons de retraites où la vie et la mort - ici sous la forme d'une chouette - se télescopent à chaque instant. Si l'humour n'est jamais bien loin, il se mêle à l'angoisse de la vieillesse qui meurt dans un monde qui l'exploite et la cache. Blanc (1998) en se plongeant dans la banalité d'un quotidien se veut certes plus joyeux mais témoigne là aussi d'une absurdité à laquelle personne n'échappe.
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